Cette séance réunit sept courts métrages aux regards singuliers sur la différence, les liens familiaux, et la perception du monde. Autant d’histoires sensibles, drôles ou touchantes, pour apprendre à voir autrement.

Dans Le Troisième bras, une rencontre amoureuse prend un tournant inattendu lorsque l’un des partenaires réalise qu’un petit détail lui avait échappé… (Fiction).
Zinzolin nous invite dans l’univers mental scintillant et coloré de Laurence Vanel, née malvoyante, alors qu’elle avance progressivement vers la cécité. (Animation).
Carpenter nous emmène auprès d’un vieux charpentier kurde, artisan charpentier, qui fabrique des prothèses pour les personnes amputées. (Doc).
Dans Lâcher-prise, Mia, 16 ans, doit apprendre à laisser aller, entre sa grand-mère atteinte de démence et son père qui peine à gérer la situation. (Fiction).
Dema explore avec délicatesse la complicité entre deux frères, bouleversée lorsque le plus jeune entre à l’école… sans son aîné, porteur de trisomie. (Fiction).
Dans Ronzio, Alma, 20 ans, atteinte de TDAH, maîtrise les codes du monde des ruches, mais se heurte aux exigences rigides de son parcours universitaire. (Fiction)
Enfin, Babka vous plonge dans un paradoxe aussi drôle que piquant : que se passe-t-il lorsqu’un malvoyant juif orthodoxe de Brooklyn se voit attribuer… un chien guide berger allemand ? (Fiction).

En présence de:

• La réalisatrice de Lâcher-prise, Sacha Box.



• La réalisatrice de Demà, Estefania Ortiz.



• La réalisatrice de Babka, Serena Dykman, et le producteur Chriz Naing.